ABONNE TOI: EMAIL PRO : paris33230@gmail.com♄ DONNATEUR GRATUIT :https://www.clictune.com/7fO4 ♄ DONNATEUR PAYANT : paypal.me/vendeuralt Bandeannonce. Sortie nationale le 20/11/2019. DurĂ©e : 2h41 Interdit aux -12 ans. Genre : ComĂ©die, drame RĂ©alisĂ© par Quentin Tarantino. Avec Leonardo Dicaprio, Brad Pitt, Margot Robbie, Emile Hirsch, Margaret Qualley. Synopsis. En 1969, la star de tĂ©lĂ©vision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs OnceUpon a Time in Hollywood Bande-annonce (4) VF de Once Upon a Time in Hollywood (2019) au CinĂ©ma Limoges Centre Ville - Grand Ecran. Limoges Centre. Choisissez votre cinĂ©ma . Arcachon 9 Bis Avenue Gambetta, 33120 Arcachon; Bergerac 2, rue des Carmes, 24100 Bergerac; La Teste-de-Buch Rue Lagrua Zone Commerciale Cap Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xáș„u. Ce 9Ăšme film de Quentin Tarantino n’est peut-ĂȘtre pas le chef d’Ɠuvre du cinĂ©ma dont on causera dans vingt ou trente ans mais si Once Upon A Time In Hollywood file comme l’éclair vers une conclusion merveilleuse et fonctionne aussi bien du dĂ©but Ă  la fin c’est, comme souvent chez le rĂ©alisateur de Reservoir Dogs, en bonne partie Ă  sa bande-son qu’il le doit. Tarantino par le passĂ© a signĂ© des associations entre images et musique qui lui survivront, redonnant vie Ă  quelques morceaux oubliĂ©s et, grĂące Ă  lui, popularisĂ©s au-delĂ  de ce qui est imaginable. Il y a ainsi toute une Ă©conomie de la rĂ©surrection qui est associĂ©e au travail de digger amateur que rĂ©alise Tarantino qui mĂ©riterait d’autres dĂ©veloppements des types qui vont sortir de l’ombre, des nĂ©gociations financiĂšres inespĂ©rĂ©es, etc. Mais ce n’est pas l’objet. La bande son de Once Upon A Time est un travail plutĂŽt scolaire d’illustration sonore d’une Ă©poque prĂ©cise Tarantino a veillĂ© Ă  ce qu’aucun morceau n’ait Ă©tĂ© Ă©crit et chantĂ© aprĂšs 1969 qui reflĂšte l’amour absolu du rĂ©alisateur pour la pĂ©riode depuis ses hits et ses morceaux attendus, jusqu’à ses publicitĂ©s surrĂ©alistes qui Ă©maillent la BO. Le rĂ©sultat est plus appliquĂ© et moins surprenant que d’autres BO de Tarantino mais forme une sĂ©lection intelligente et, Ă  bien des Ă©gards, imparable, marquĂ©e par l’absence totale de second degrĂ©. On rentre dans le film par la soul blanche et qui semble aujourd’hui un brin dĂ©calĂ©e de Roy Head & The Traits. Treat Her Right est un hit de l’époque qui donne le ton du film et installe la narration dans un registre premier degrĂ© » attentif aux dĂ©tails et plein de respect et de compassion pour l’époque qui va disparaĂźtre. C’est un des traits de la bande originale que de servir l’intrigue en la soulignant. Tarantino, Ă  de rares exceptions prĂšs les scĂšnes de violence essentiellement, se sert rarement de la musique pour contredire ce qu’il filme. Les sĂ©quences musicales les plus cool sont attachĂ©es au personnage de Brad Pitt et notamment Ă  quelques scĂšnes de voiture oĂč la musique contribue Ă  l’exaltation et au sentiment d’euphorie ou d’insouciance qui accompagne le personnage. On retrouve cette approche chez Paul Revere & The Raiders, l’un des groupes stars et mineurs de l’époque. Sharon Tate s’excuse d’ailleurs en se mettant Ă  danser Ne dis pas Ă  Jim Morrison que tu danses sur les Raiders ». Good Thing et Hungry sont des morceaux mĂ©diocres mais qui ont Ă©tĂ© produits par Terry Melcher, l’un des anciens rĂ©sidents de Cielo Drive et ami des Beach Boys. On peut imaginer que c’est pour cette raison que Tarantino a tenu Ă  les intĂ©grer au film. De lĂ  Ă  mettre 4 ou 5 morceaux sur le disque, c’est peut-ĂȘtre prĂ©sumer de notre capacitĂ© Ă  nous plonger suffisamment dans l’ambiance pour trouver que cette musique vaut vraiment le coup. Pari perdu. Parmi les bonnes surprises rĂ©servĂ©es par cette bande-son, on mettra en avant le Choo Choo Train dĂ©traquĂ© de The Box Tops, le premier groupe d’Alex Chilton, future tĂȘte de gondole du rock alternatif amĂ©ricain et chanteur des cultissimes Big Star. Les Box Tops ont cartonnĂ© Ă  l’époque notamment avec The Letter, un morceau remarquable qui Ă©voque la guerre du Vietnam et mĂ©riteraient qu’on s’y attarde. A cĂŽtĂ© des classiques/poncifs que sont Deep Purple mĂȘme si Hush reste excellent et Simon & Garfunkel Mrs Robinson qu’on entend Ă  peine, Tarantino nous offre l’occasion de redĂ©couvrir les excellents Chad & Jeremy avec Paxton Quigley’s Had The Course, peut-ĂȘtre le morceau le plus classe du disque. Groupe pop folk qui sonne ici comme les Beatles, les deux Anglais ont terminĂ© leur carriĂšre discographique avec Of Cabbages and Kings et The Ark qui sont deux merveilles psychĂ©dĂ©liques dignes de The Kinks. PlombĂ©s par l’insuccĂšs, le duo se dĂ©chirera et les deux hommes disparaĂźtront des radars. Des titres comme Bring A Little Lovin de Los Bravos ou Hey Little Girl de Dee Clark sont des titres enlevĂ©s et lĂ©gers, assez reprĂ©sentatifs de ce qui passait sur les ondes Ă  cette Ă©poque. Son Of A Lovin Man des faux frĂšres Buchanan agit dans un registre assez similaire. Il y a une volontĂ© dĂ©libĂ©rĂ©e de la part de Tarantino de s’en tenir Ă  cette musique aĂ©rienne et tendrement rock de l’époque. Le danger est presque entiĂšrement absent de la bande son comme s’il avait Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©. Il n’y a guĂšre que le Brother Love’s Traveling Salvation Show de Neil Diamond qui vient, dans le contexte de la Manson Family, porter un premier doute sur l’allĂ©gresse ambiante et dĂ©voiler les premiers craquements dans le portrait idyllique donnĂ© du Hollywood de ces annĂ©es-lĂ . La bande son et le film agissent comme des faux mirages, des chromos reconstituĂ©s et qui ne prennent pas en compte ce qui ne fonctionne dĂ©jĂ  plus. Le rythme ralentit, les tempos baba cools vont se changer bientĂŽt en rock plus violent ou en excĂšs liĂ©s Ă  la drogue ou Ă  l’ennui. On ressent cette bascule sur You Keep Me Hangin On de Vanilla Fudge, qui, pour nous, ne remplace pas tout Ă  fait l’absence sur cette bande-son d’Arthur Lee et de son groupe Love. Est-ce que le groupe n’entrait pas dans les plans de Tarantino ? Est-ce qu’il Ă©tait trop en avance sur son temps pour ne pas dĂ©voiler ce qui se passerait aprĂšs la mort de Tate ? Toujours est-il que Love est le groupe visionnaire qui manque ici et dont la musique aurait probablement pu dire ce qu’essayait de rendre Tarantino par l’image, c’est-Ă -dire moins que le gĂąchis soudain d’une utopie, la lente dĂ©gradation et la contamination par les forces du mal la publicitĂ© gnangnan en Ă©tant l’un des vecteurs, Manson, etc d’un Eden essoufflĂ© par sa propre dĂ©bauche d’énergie. Retrouver Ă  la toute fin du disque le Miss Lily Langtry de Maurice Jarre est un vrai coup de gĂ©nie qui ne tient pas tant au morceau lui-mĂȘme qu’à son Ă©trange mĂ©lodisme. Difficile de savoir si le morceau est triste ou joyeux, s’il exprime de la tristesse ou dĂ©jĂ  du regret ou de la nostalgie. Avec ses trois minutes instrumentales, c’est peut-ĂȘtre le morceau pivot de la bande son, celui qui dit le film et en rĂ©vĂšle le mieux les intentions. Le titre agit comme une caresse, moins Ă©rotique que comme une forme de consolation, en phase avec le traitement final et cette idĂ©e que tout continue aprĂšs le clap de fin, pour le meilleur et pour le pire. Cette bande son est un bon moyen de se replonger dans l’ambiance et le rythme du film. Elle n’a pas grand-chose de plus Ă  offrir que ça, mais c’est dĂ©jĂ  beaucoup compte tenu de la puissance d’immersion et de la maestria que dĂ©ploie Tarantino Ă  recrĂ©er l’une des pĂ©riodes les plus stimulantes et fascinantes de l’histoire de l’homme moderne. LA 1969, comme si vous y Ă©tiez. Le voyage n’a pas de prix. Tracklist 01. Treat Her Right / Roy Head & The Traits 02. Ramblin Gamblin Man / The Bob Seger System 03. Hush/ Deep Purple 04. Mug Root Beer Advertisement 05. Hector / The Village Callers 06. Son of A Lovin Man / Buchanan Brothers 07. Paxton Qugley’s Had The Course / Chad & Jeremy 08. Tanya Tanning Butter Advertisement 09. Good Thing / Paul Revere & The Raiders 10. Hungry/ Paul Revere & The Raiders 11. Choo Choo Train / The Box Tops 12. Jenny Take A Ride / Mitch Ryder, The Detroit Wheels 13. Kentucky Woman / Deep Purple 14. The Circle Game / Buffy Sainte Marie 15. Mrs Robinson/ Simon & Garfunkel 16. Numero Uno Cologne Advertisement 17. Bring a Little Lovin / Los Bravos 18. Suddenly/ Heaven Sent Advertisement 19. Vagabond High School Reunion 20. KHJ Los Angeles Weather Report 21. The Illustrated Man Advertisement 22. Hey Little Girl/ Dee Clark 23. Summer Blonde Advertisement 24. Brother’s Love Traveling Salvation Show/ Neil Diamond 25. Dont Chase Me Around / Robert Corff 26. Mr Sun, Mr Moon / Paul Revere & The Raiders 27. California Dreaming/ Jose Feliciano 28. Dinamite Jim/ I Cantori Moderni di Alessandroni 29. You Keep Me Hangin On / Vanilla Fudge 30. Miss Lily Langtry / Maurice Jarre 31. KHJ Batman Promotion Le neuviĂšme film Ă©vĂ©nement du rĂ©alisateur amĂ©ricain est une ode Ă  des annĂ©es 60 dans lequel Tarantino joue avec le passĂ©isme de façon volontairement ambigĂŒe et perverse Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus ». Cette phrase de Proust, dans Le temps retrouvĂ©, Quentin Tarantino la fait plus que jamais sienne dans Once Upon A Time in Hollywood. Conçu d’abord comme une lettre d’amour Ă  une Ă©poque, Ă  une ville, aux acteurs, aux pieds fĂ©minins, son neuviĂšme film dĂ©ploie, durant ses presque 2h40, une fresque Ă  la fois ultra-ambitieuse dans ses moyens et nĂ©anmoins trĂšs simple dans son cheminement. On pouvait s’attendre, de la part du rĂ©alisateur de Pulp Fiction et Kill Bill, Ă  une nouvelle fiction dĂ©construite, aux multiples ramifications spatio-temporelles ; c’est au contraire son film le plus linĂ©aire et flegmatique, en dĂ©pit de quelques digressions et flash-backs opportuns, ainsi que d’une voix off qui, comme un chƓur de tragĂ©die, se charge d’annoncer le fatum. Si Once Upon A Time in America, le grand rĂ©cit proustien du maĂźtre de QT, Sergio Leone, carburait Ă  l’opium et au ressouvenir, cet Il Ă©tait une fois se shoote plutĂŽt au cannabis la drogue de LA, avec une pointe de LSD c’est en effet dans un pur prĂ©sent qu’il se dĂ©ploie ou plutĂŽt un passĂ© ramenĂ© au prĂ©sent, avec un compteur prĂ©cis de jours, et mĂȘme d’heures, mais en l’étirant comme du chewing-gum. Pour faire durer le plaisir avant la fin inĂ©luctable, pour profiter des derniers jours comme s’ils allaient durer toute la vie, pour retarder au maximum la chute du paradis. Tarantino, qui a toujours fonctionnĂ© selon ce principe d’écriture, le pousse ici Ă  son paroxysme, non plus Ă  l’échelle d’une scĂšne mais de tout un film — rejoignant ainsi Inherent Vice de Paul Thomas Anderson, Mektoub My Love d’Abdelatif Kechiche ou Everybody Wants Some ! de Richard Linklater, dans leur tentative de capter une pointe temporelle dans son infinie briĂšvetĂ©. Jouir avant la perte de l’innocence Ce qu’il cĂ©lĂšbre lĂ , avant inventaire et fermeture dĂ©finitive, c’est donc 1969, Los Angeles, et un certain rapport au monde. 69, c’est pour QT l’annĂ©e des six ans, l’annĂ©e du dĂ©clin dĂ©finitif du vieil Hollywood au profit de la tĂ©lĂ©vision et bientĂŽt du nouvel Hollywood, l’annĂ©e, enfin, oĂč Sharon Tate fut massacrĂ©e, avec un fƓtus de 8 mois dans le ventre et quatre de ses amis, par trois membres de la famille » de Charles Manson. Cet Ă©vĂšnement, qui plane tel un spectre sur tout le film, bien que son exĂ©cution » n’en prendra qu’une petite partie, signe historiquement, aux Etats-Unis, la fin de l’innocence, du flower power et de l’utopie hippie, noyĂ©e dans un bain de sang. Mais, en attendant, semble indiquer Tarantino, il faut jouir. Le maestro se plaĂźt ainsi Ă  ne filmer lĂ , que ce qui se trouve au cƓur de son dĂ©sir. Une pornographie de la reconstitution Des acteurs cabotinant d’abord Brad Pitt en cascadeur castagneur, mĂ©lancolique et nonchalant prenant l’avantage sur Leonardo Di Caprio, mĂȘme si ce dernier excelle en acteur ringard de sĂ©rie B. La reconstitution d’un western kitsch dans lequel il joue, si elle impressionne par sa virtuositĂ©, ennuie cependant quelque peu, par son manque d’enjeu. LĂ  oĂč Tarantino, en revanche, excelle, c’est dans l’accumulation gratuite et boulimique de dĂ©tails. Il n’a au fond plus besoin d’une intrigue, la dĂ©ambulation urbaine de deux sublimes losers, en train de tomber de leur piĂ©destal, lui suffit. Costumes et accessoires vintage, voitures d’époque, vieux posters, musique soul et rock, enseignes disparues la plus belle scĂšne n’étant composĂ©e que de nĂ©ons clignotants, boites de pĂątĂ© pour chien presque Ă©rotique
 Il y a presque ici une pornographie de la reconstitution accompagnĂ©e d’une grande prĂ©cision historique, qui pourrait virer Ă  l’acadĂ©misme si Tarantino ne regardait pas le monde, son monde, avec une intensitĂ© folle. Voir par exemple comme il filme Margot Robbie et ses pieds, absolument solaire et extatique, lorsqu’elle va au cinĂ©ma se mirer. Un film versatile dans son propos Reste la question politique, follement perverse. Par une foule de dĂ©tails, parfois Ă  la limite de la private joke — par exemple quand il fait dire Ă  une hippie psychopathe que sa violence n’est qu’une saine rĂ©action face Ă  celle des Ă©crans hollywoodiens —, Tarantino semble adresser un doigt d’honneur, accompagnĂ© d’un rire sardonique, Ă  ses dĂ©tracteurs. PlutĂŽt que de s’excuser, il creuse ainsi son sillon, un peu Ă  la maniĂšre de Lars Von Trier dans The House That Jack Built. Il joue carrĂ©ment avec le feu lorsqu’il laisse entendre, sans le confirmer, que le personnage de Brad Pitt aurait pu se tirer d’un fĂ©minicide, sans autre consĂ©quence pour lui qu’une mauvaise rĂ©putation sur les plateaux de tournage. Lui-mĂȘme accusĂ©, peu de temps aprĂšs Metoo de maltraitances vis-Ă -vis de son Ă©gĂ©rie Uma Thurman sur le tournage de Kill Bill, il fait peut-ĂȘtre lĂ  une projection tordue. Et toute l’ambiguĂŻtĂ© de ce soi-disant Ăąge de l’innocence qu’il entend restaurer, de ce cristal de temps qu’il fait scintiller allĂšgrement, finit par exploser dans le dernier acte, sauvage et sadique. Le film laisse un drĂŽle de goĂ»t en bouche, tandis que demeure indĂ©cidable le degrĂ© d’ironie que porte le cinĂ©aste sur la restauration des valeurs archaĂŻques qu’il met en Ɠuvre. ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD de Quentin Tarantino – CompĂ©titon officielle Avec Leonardo Di Caprio, Brad Pitt, Margot Robbie 2h39, 2019 Connexion Menu Principal CommunautĂ© Proposer un article Applis Wiki Discord TeamSpeak PrĂ©sentation Recensement Minecraft Clash of Clans Aldebaran Once upon a time in Hollywood Tarantino 1 1 Je suis accro Inscrit 08/05/2006 1349 Posts 1410 Karma 1120 ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD - Official Teaser Trailer HD Contribution le 20/03/2019 1652 _________________ Poum poum poum poum... Signaler Koreus Re Once upon a time in Hollywood Tarantino 0 2 Webhamster Inscrit 03/07/2002 2358 Posts 73807 Karma 35831 Le synopsis Citation En 1969, la star de tĂ©lĂ©vision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs carriĂšres au sein d’une industrie qu’ils ne reconnaissent plus Contribution le 21/03/2019 0918 _________________ Signaler Skwatek Re Once upon a time in Hollywood Tarantino 0 3 Koreus Addict Inscrit 26/11/2005 1741 Posts 46141 Karma 24153 La premiĂšre bande-annonce ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD - Official Trailer HD Contribution le 21/05/2019 1754 le Rien n'est jamais penser Ă  rien. Signaler Krobot đŸ€– Once Upon a Time in... Hollywood Trailer 0 4 Je viens d'arriver Inscrit 03/07/2002 2358 Posts 0 Karma 432 La vidĂ©o est en article Once Upon a Time in... Hollywood Trailer Contribution le 21/05/2019 1900 Signaler Synopsis En 1969, la star de tĂ©lĂ©vision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs carriĂšres au sein d’une industrie qu’ils ne reconnaissent plus. Date de sortie au cinĂ©ma le 14 aoĂ»t 2019 Source Realizador Quentin Tarantino Duração 2 horas 42 minutos GĂ©nero ComĂ©dia, Drama e ficção, Thriller Idioma InglĂȘs Era Uma Vez em
 Hollywood 14 August 2019 12K membros In this town, it can all change
 like that Los Angeles EUA. O ano Ă© 1969. Rick Dalton Ă© um actor de “westerns” televisivos que, juntamente com o seu duplo e amigo de longa data Cliff Booth, chega a Hollywood determinado a reavivar a sua carreira. Ali, os seus destinos vĂŁo cruzar-se com personagens que marcaram uma Ă©poca. Entre elas estĂĄ a jovem Sharon Tate, na altura grĂĄvida do cineasta Roman Polanski; e Charles Manson, cujos crimes cometidos por si e pelos seus seguidores chocaram o mundo, mudaram costumes e deram o mote ao fim do movimento “hippie”. Elenco 24 ComentĂĄrios 50 J'ai adorĂ©, oui c'est spĂ©cial et un peu lent mais alors qu'est-ce que c'est bon cette mise en place progressive des protagonistes, jusqu'Ă  la scĂšne finale ! Ça c'est du Tarentino ! On se demande toujours Ă  quel moment ça va partir en c... Et bien lĂ  je n'ai pas Ă©tĂ© déçue sur cette scĂšne finale. Plus que violente, je dirais mĂȘme gore. Mais les acteurs sont gĂ©niaux. Magnifique duo Pitt/DiCaprio. L'image du film est superbe. A voir ! elvirajolie 20 september 2021 Je comprends pourquoi certains ne l'ont pas du tout aimĂ©. Il est trĂšs contemplatif. Mais j'adore les US des annĂ©es 60 donc j'ai vraiment kiffĂ© ce film! Les acteurs sont gĂ©niaux, l'image est magnifique, l'immersion est parfaite et la fin est dĂ©lirante. Le film est d’un ennui, le dernier quart d’heure rattrape le tout. Pas nĂ©cessaire Ă  regarder mais bon s’il passe un jour Ă  la tĂ©lĂ© regardez le quoi ça fait passer le temps ! Une bonne rĂ©interprĂ©tation de l’histoire de la famille Manson ceci dit avec une conclusion diffĂ©rente Neymo_HTD 6 december 2020 Alors comment dire, je n’ai pas apprĂ©ciĂ© du tout. J’étais allĂ© le voir au cinĂ©ma, j’ai cru que j’allais quitter la sĂ©ance ... Lent, long et inintĂ©ressant ... J’ai mĂȘme faillit rater le restaurant Ă  cause de ce navet ... skiffanselme 13 november 2020 Il Ă©tait une fois... une histoire. Ouaip, ce film raconte une histoire. Pas ouf, mais avec tout de mĂȘme des scĂšnes intĂ©ressantes les hippies, les tournages de film, les pĂ©ripĂ©ties du cascadeur, le combat Ă  la fin aidĂ© par le chien.. wow !^^. La bande son est aussi vraiment bien, les prises sont soignĂ©es et le jeu d'acteur rĂ©ussi ça doit reprĂ©senter 80% du budget du film nan ? p . Bref, ça se regarde vite fait et ça s'apprĂ©cie malgrĂ© quelques lenteurs au dĂ©but. Skipwoof 23 september 2020 Aucun doute que Tarantino a pris Ă©normĂ©ment de plaisir Ă  tourner ce film. Dommage que j’ai pris absolument aucun plaisir Ă  le regarder... Not a usual Tarantino... but a good one! kristofmarton 30 may 2020 Je n'ai pas du tout aimĂ©. Quelle dĂ©ception venant de Tarantino. Le film est creux, long, lent,. Les personnages sont vides. On a mĂȘme l'impression que les acteurs n'y croient pas non plus. J'ai Ă©tĂ© jusqu'au bout mais il a fallut que je me fasse violence. Quel voyage dans le temps avec ce dernier film de Quentin Tarantino! TrĂšs diffĂ©rent de ses autres films, comme un retour en enfance de sa part, on dĂ©couvre un Hollywood comme jamais on aurait imaginĂ©. D'une simplicitĂ© dĂ©concertante, le rĂ©alisateur arrive Ă  nous faire passer un moment certes calme, diffĂ©rent de tous ces autres films, mais trĂšs intĂ©ressant et palpitant malgrĂ© tout ! La fin est dĂ©lirante, burlesque, Ă©norme.. enfin c'est du Tarantino il nous surprend toujours et se rĂ©invente dans ce film ! Le dernier quart d'heure vaut bien les 2h le prĂ©cĂ©dant Ă  se faire un p'tit peu chier. M'enfin grĂące Ă  Pitt et Di Caprio ça passe bien tout de mĂȘme. On sent que Tarentino s’est bien fait plaisir avec ce film. Multiples rĂ©fĂ©rences cinĂ©matographiques amĂ©ricaines comme il les aime et cette conclusion wtf qui prend Ă  contre pied, surtout qu’il avait bien pris soin de dĂ©poser tous les ingrĂ©dients qui auraient du conduire Ă  la vraie fin. C’est sur que ça ne va pas plaire Ă  tout le monde ! DiCaprio et Pitt sont excellents, bien dans leurs rĂŽles sans en faire des caisses... Bof pas un des meilleurs films de la dĂ©cennie... Un des tarantino les moins intĂ©ressants malgrĂ© le casting. On se fout globalement de l'histoire..Et l histoire avec la manson family est vraiment chelou dans sa conclusion. Tarantino c’est dĂ©cidĂ©ment pas ma came !!! MĂȘme portĂ© par deux acteurs que j’aime beaucoup c’est juste un loooong buddy-movie sans vraiment de distance ! Je me demande ce que Polanski a pensĂ© s’il l’a vu de ce que Tarantino a fait du drame innommable que Manson et sa famille » leur ont fait subir 😕... moi j’ai pas aimĂ© ! Oceanic815 8 february 2020 Il ne plaira pas Ă  tout le monde mais j’ai bien aimĂ©. woodcutter 19 january 2020 Du Tarantino pour les fans... Un film finalement plein de vide qui se contente de dĂ©biter les rĂ©fĂ©rences. Les derniers instants pourtant les plus intĂ©ressants sont les plus creux puisque totalement et artificiellement inclus dans l'histoire. Ca a le mĂ©rite de nous faire comprendre que l'histoire de ce film ne se dĂ©roule que dans l'esprit tortueux de Tarantino, et c'est tant mieux ! Les 30 derniĂšres minutes sont bien sinon le reste bof... Le personnage de Margot est pas vraiment utile ou alors j'ai loupĂ© un truc YODACHNIKOV 5 january 2020 la derniĂšre demi-heure est bien fichu. Le reste du film est juste inutile. En gros, si vous voulez vous Ă©pargner 2h40 de longueurs, vous pouvez passer une bonne soirĂ©e en commençant le visionnage du filmĂ  partir de 2h00. Filmes semelhantes 6

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